Theo Croker & Sullivan Fortner
Play
🎺🎹 Theo Croker & Sullivan Fortner – PLAY : quand deux frères de son réinventent la liberté du jazz (sortie le 14 novembre 2025, ACT)
Oubliez les cases.
Oubliez les règles.
Oubliez le marché.
Oubliez même les partitions.
Avec PLAY, à paraître le 14 novembre 2025 chez ACT (en CD, vinyle et digital), le trompettiste Theo Croker et le pianiste Sullivan Fortner signent un manifeste musical où le mot d’ordre est clair : jouer, simplement jouer.
Une complicité forgée depuis 20 ans
Les deux musiciens se connaissent depuis plus de vingt ans, mais n’avaient jamais encore enregistré en tant que co-leaders. Leur première tentative en studio ? Un album de standards modernes et de chansons populaires revisitées. Un exercice de style… aussitôt jeté à la poubelle. « C’était bon, mais pas nous », explique Fortner. « Ça sonnait comme un retour à l’école, pas comme la musique qu’on aime vraiment partager sur scène. »
Le lendemain, tout a basculé
Ils retournent en studio le lendemain, cette fois sans plan, sans partition, sans filet. Une seule composition écrite (A Prayer for Peace), puis le vide, l’improvisation pure.
Theo Croker raconte : « On se lançait des contraintes simples : ce morceau sera rapide, celui-ci interdit d’utiliser quatre notes, là je joue des notes longues et toi des phrases rapides... et on voit où ça nous mène. En une heure, tout était enregistré. »
Un pari fou, qui a capturé l’essence de deux vies entières de musique, de complicité et d’écoute.
La quintessence de la liberté jazz
Dans PLAY, l’essence du jazz est convoquée : la liberté, l’interaction, la conversation sans barrières. Ce n’est pas un projet pensé pour plaire à un marché, mais une rencontre vivante entre deux artistes qui se connaissent comme des frères. « This is just two brothers playing », résume Sullivan Fortner.
Loin des formats calibrés pour le streaming, le disque sonne comme une respiration, un manifeste contre la standardisation. Croker et Fortner embrassent l’héritage du jazz afro-américain dans toute sa diaspora – du swing à la soul, du spirituel à l’avant-garde – pour le transformer en un langage intime, spontané et contemporain.
Une continuité et une rupture pour Theo Croker
Croker n’en est pas à sa première collaboration avec ACT : on l’a entendu sur Jazz at Berlin Philharmonic XII – Sketches of Miles (2021), puis dans l’aventure transatlantique Louise d’Émile Parisien (2022). Mais avec PLAY, il dévoile une facette plus acoustique, presque chambriste, très éloignée de ses incursions habituelles entre jazz, hip-hop et pop. L’idée d’un duo avec Fortner, déjà envisagée depuis longtemps, s’imposait comme une évidence.
Pourquoi écouter PLAY ?
Parce que cet album est une rareté : un instant capté sans calcul, sans compromis, où la musique redevient ce qu’elle a toujours été — une conversation entre êtres humains. Parce qu’il témoigne de l’extraordinaire vitalité du jazz contemporain américain. Et surtout parce que Croker et Fortner rappellent que le plus beau des manifestes artistiques peut tenir en un seul mot : jouer.
Oubliez les cases.
Oubliez les règles.
Oubliez le marché.
Oubliez même les partitions.
Avec PLAY, à paraître le 14 novembre 2025 chez ACT (en CD, vinyle et digital), le trompettiste Theo Croker et le pianiste Sullivan Fortner signent un manifeste musical où le mot d’ordre est clair : jouer, simplement jouer.
Une complicité forgée depuis 20 ans
Les deux musiciens se connaissent depuis plus de vingt ans, mais n’avaient jamais encore enregistré en tant que co-leaders. Leur première tentative en studio ? Un album de standards modernes et de chansons populaires revisitées. Un exercice de style… aussitôt jeté à la poubelle. « C’était bon, mais pas nous », explique Fortner. « Ça sonnait comme un retour à l’école, pas comme la musique qu’on aime vraiment partager sur scène. »
Le lendemain, tout a basculé
Ils retournent en studio le lendemain, cette fois sans plan, sans partition, sans filet. Une seule composition écrite (A Prayer for Peace), puis le vide, l’improvisation pure.
Theo Croker raconte : « On se lançait des contraintes simples : ce morceau sera rapide, celui-ci interdit d’utiliser quatre notes, là je joue des notes longues et toi des phrases rapides... et on voit où ça nous mène. En une heure, tout était enregistré. »
Un pari fou, qui a capturé l’essence de deux vies entières de musique, de complicité et d’écoute.
La quintessence de la liberté jazz
Dans PLAY, l’essence du jazz est convoquée : la liberté, l’interaction, la conversation sans barrières. Ce n’est pas un projet pensé pour plaire à un marché, mais une rencontre vivante entre deux artistes qui se connaissent comme des frères. « This is just two brothers playing », résume Sullivan Fortner.
Loin des formats calibrés pour le streaming, le disque sonne comme une respiration, un manifeste contre la standardisation. Croker et Fortner embrassent l’héritage du jazz afro-américain dans toute sa diaspora – du swing à la soul, du spirituel à l’avant-garde – pour le transformer en un langage intime, spontané et contemporain.
Une continuité et une rupture pour Theo Croker
Croker n’en est pas à sa première collaboration avec ACT : on l’a entendu sur Jazz at Berlin Philharmonic XII – Sketches of Miles (2021), puis dans l’aventure transatlantique Louise d’Émile Parisien (2022). Mais avec PLAY, il dévoile une facette plus acoustique, presque chambriste, très éloignée de ses incursions habituelles entre jazz, hip-hop et pop. L’idée d’un duo avec Fortner, déjà envisagée depuis longtemps, s’imposait comme une évidence.
Pourquoi écouter PLAY ?
Parce que cet album est une rareté : un instant capté sans calcul, sans compromis, où la musique redevient ce qu’elle a toujours été — une conversation entre êtres humains. Parce qu’il témoigne de l’extraordinaire vitalité du jazz contemporain américain. Et surtout parce que Croker et Fortner rappellent que le plus beau des manifestes artistiques peut tenir en un seul mot : jouer.
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