Mulatu Astatke
Mulatu Plays Mulatu
🎷 Mulatu Astatke : le retour flamboyant du père de l’ethio-jazz avec Mulatu Plays Mulatu
En cette rentrée 2025, le monde du jazz a rendez-vous avec une légende vivante. Le 26 septembre, Strut Records publie Mulatu Plays Mulatu, le premier grand album studio en plus de dix ans de Mulatu Astatke, l’architecte de l’ethio-jazz. Deux jours plus tôt, le 23 septembre, la salle Pleyel à Paris vibrera au rythme de ce jazz éthiopien unique, en compagnie de l’homme qui a transformé une scène musicale entière et inspiré des générations de musiciens à travers le monde.
✨ Mulatu Astatke, un visionnaire en mouvement
Né à Jimma, en Éthiopie, Mulatu Astatke est le premier musicien africain diplômé du prestigieux Berklee College of Music à Boston. Dans les années 1960, il combine ses influences de jazz latin, de hard bop et de musique traditionnelle éthiopienne pour inventer une nouvelle esthétique : l’ethio-jazz.
Une anecdote savoureuse : dans ses premières années à New York, Mulatu a souvent été invité à jouer du vibraphone dans des formations latines, notamment avec Mongo Santamaría. C’est cette expérience qui l’a poussé à marier les rythmes afro-caribéens aux modes pentatoniques éthiopiens.
🎶 Un nouvel album, entre mémoire et modernité
Mulatu Plays Mulatu n’est pas un simple retour, mais une relecture ambitieuse. On y retrouve des classiques comme Yekermo Sew ou Netsanet, arrangés avec une richesse orchestrale nouvelle et une densité rythmique inédite.
Mulatu s’entoure de son fidèle groupe britannique, rôdé par des années de tournées, mais aussi de musiciens traditionnels d’Addis-Abeba. Krar, masenqo, washint, kebero et begena résonnent avec le vibraphone, le piano et les cuivres pour créer des textures à la fois ancrées dans la tradition et résolument modernes.
À Los Angeles, la nouvelle génération répond aussi présente : Carlos Niño et Kibrom Birhane apportent des touches contemporaines, comme un dialogue intercontinental autour de l’héritage de l’ethio-jazz.
🎷 Un héritage qui inspire le monde
L’influence de Mulatu dépasse largement les frontières de l’Éthiopie. Son morceau Yegelle Tezeta a marqué le film Broken Flowers de Jim Jarmusch (2005), révélant son univers au grand public occidental. Ses compositions ont aussi été samplées par des artistes hip-hop comme Nas ou Kanye West, preuve que son langage musical traverse les époques et les genres.
Comme il le dit lui-même :
“L’ethio-jazz nous unit et fait de nous un seul peuple.”
🏛️ Concert événement à la Salle Pleyel
Le 23 septembre, Paris accueillera Mulatu Astatke pour un concert qui s’annonce historique. Un moment rare où l’on pourra entendre ces nouvelles versions en live, portées par l’énergie d’un big band. La salle Pleyel, haut lieu des musiques du monde et du jazz, sera le théâtre d’une célébration à la fois patrimoniale et tournée vers l’avenir.
🔑 Pourquoi écouter Mulatu Plays Mulatu
Pour redécouvrir les classiques du maître sous une nouvelle lumière.
Pour ressentir la puissance d’un jazz qui dialogue avec les racines éthiopiennes.
Pour comprendre pourquoi Mulatu est surnommé “le Duke Ellington africain”.
Pour vivre en direct l’évolution d’un genre qui continue de se réinventer.
En cette rentrée 2025, le monde du jazz a rendez-vous avec une légende vivante. Le 26 septembre, Strut Records publie Mulatu Plays Mulatu, le premier grand album studio en plus de dix ans de Mulatu Astatke, l’architecte de l’ethio-jazz. Deux jours plus tôt, le 23 septembre, la salle Pleyel à Paris vibrera au rythme de ce jazz éthiopien unique, en compagnie de l’homme qui a transformé une scène musicale entière et inspiré des générations de musiciens à travers le monde.
✨ Mulatu Astatke, un visionnaire en mouvement
Né à Jimma, en Éthiopie, Mulatu Astatke est le premier musicien africain diplômé du prestigieux Berklee College of Music à Boston. Dans les années 1960, il combine ses influences de jazz latin, de hard bop et de musique traditionnelle éthiopienne pour inventer une nouvelle esthétique : l’ethio-jazz.
Une anecdote savoureuse : dans ses premières années à New York, Mulatu a souvent été invité à jouer du vibraphone dans des formations latines, notamment avec Mongo Santamaría. C’est cette expérience qui l’a poussé à marier les rythmes afro-caribéens aux modes pentatoniques éthiopiens.
🎶 Un nouvel album, entre mémoire et modernité
Mulatu Plays Mulatu n’est pas un simple retour, mais une relecture ambitieuse. On y retrouve des classiques comme Yekermo Sew ou Netsanet, arrangés avec une richesse orchestrale nouvelle et une densité rythmique inédite.
Mulatu s’entoure de son fidèle groupe britannique, rôdé par des années de tournées, mais aussi de musiciens traditionnels d’Addis-Abeba. Krar, masenqo, washint, kebero et begena résonnent avec le vibraphone, le piano et les cuivres pour créer des textures à la fois ancrées dans la tradition et résolument modernes.
À Los Angeles, la nouvelle génération répond aussi présente : Carlos Niño et Kibrom Birhane apportent des touches contemporaines, comme un dialogue intercontinental autour de l’héritage de l’ethio-jazz.
🎷 Un héritage qui inspire le monde
L’influence de Mulatu dépasse largement les frontières de l’Éthiopie. Son morceau Yegelle Tezeta a marqué le film Broken Flowers de Jim Jarmusch (2005), révélant son univers au grand public occidental. Ses compositions ont aussi été samplées par des artistes hip-hop comme Nas ou Kanye West, preuve que son langage musical traverse les époques et les genres.
Comme il le dit lui-même :
“L’ethio-jazz nous unit et fait de nous un seul peuple.”
🏛️ Concert événement à la Salle Pleyel
Le 23 septembre, Paris accueillera Mulatu Astatke pour un concert qui s’annonce historique. Un moment rare où l’on pourra entendre ces nouvelles versions en live, portées par l’énergie d’un big band. La salle Pleyel, haut lieu des musiques du monde et du jazz, sera le théâtre d’une célébration à la fois patrimoniale et tournée vers l’avenir.
🔑 Pourquoi écouter Mulatu Plays Mulatu
Pour redécouvrir les classiques du maître sous une nouvelle lumière.
Pour ressentir la puissance d’un jazz qui dialogue avec les racines éthiopiennes.
Pour comprendre pourquoi Mulatu est surnommé “le Duke Ellington africain”.
Pour vivre en direct l’évolution d’un genre qui continue de se réinventer.
